L’habitude de se plaindre et de critiquer sans agir paralyse la vie.
Se plaindre pour se plaindre est un mécanisme qui empêche la possibilité de développer un changement d’action. En se plaignant et en critiquant, les gens se positionnent en regardant le problème et en stagnant dans celui-ci.

De cette façon, ils augmentent la plainte initiale et s’éloignent de plus en plus du chemin vers la solution.
De plus, le fait de toujours souligner ce qui manque conduit inévitablement à la frustration : l’idée qu’il aurait toujours été possible de faire un peu plus ou mieux est toujours présente.

Un facteur associé à la plainte est l’inaction, car pendant que le plaignant ou le critique exprime son mantra de plainte, les actions sont remplacées par des lamentations. Et ainsi, en ne prenant pas d’actions concrètes qui se traduisent par des solutions, un blocage se produit qui favorise l’acte de continuer à se plaindre, formant un cercle vicieux éternel.